Ensemble Scolaire d’Amboise

Actualité du collège

Amitié franco-allemande

Jeudi 20 janvier, le menu de la cantine du primaire et du collège était aux couleurs des drapeaux français et allemand. Avec deux jours d’avance sur le calendrier officiel, nous fêtions la journée de l’amitié franco-allemande. Patricia, la gérante du restaurant et ses collègues n’ont pas hésité de porter haut les chapeaux bleu, blanc rouge et noir, rouge et jaune. (Merci à toute l’équipe)

Qui se souvient du 22 janvier 1963? C’est le jour où Konrad Adenauer (premier Chancelier fédéral allemand) et Charles de Gaulle (Président de la République française) signaient le Traité de l’Elysée. Ce dernier permettait le rapprochement des deux pays, la création de l’OFAJ (Office Franco-Allemand de la Jeunesse) et du DFJW (Deutsch-Franösisches JugendWerk), la naissance d’échanges scolaires, de jumelages… et le début de l’Europe. Mme Koch, enseignante d’allemand.

La chanson de Noël « Kling, Glöckchen, klingelingeling ! » par les classes bilangues

Kling, Glöckchen, klingelingeling !

Deux triangles pour donner le rythme, 3 clochettes pour souligner le refrain ; les élèves de 5e et 4e bilangue étaient fin prêts pour chanter dans la cour devant leurs camardes, impatients,  la chanson de Noël « Kling, Glöckchen, klingelingeling ! ».

Dans cette chanson, il est question de clochettes pour fêter Noël, malgré le froid hivernal.

1

Kling, Glöckchen, klingelingeling, kling, Glöckchen, kling! Laßt mich ein, ihr Kinder, ist so kalt der Winter, öffnet mir die Türen,

laßt mich nicht erfrieren. Kling, Glöckchen, klingelingeling, kling, Glöckchen, kling!

2

Kling, Glöckchen, klingelingeling, kling, Glöckchen, kling! Mädchen hört und Bübchen, macht mir auf das Stübchen,

bring’ euch milde Gaben, sollt’ euch dran erlaben. Kling, Glöckchen, klingelingeling, kling, Glöckchen, kling!

3

Kling, Glöckchen, klingelingeling, kling, Glöckchen, kling! Hell erglühn die Kerzen, öffnet mir die Herzen,

will drin wohnen fröhlich, frommes Kind, wie selig. Kling, Glöckchen, klingelingeling, kling, Glöckchen, kling!

Pour écouter la chanson :  https://www.youtube.com/watch?v=TYUjQg_sAKk

ou Youtube Kling, Glöckchen – Weihnachtslieder zum Mitsingen

 

Un cross sous le soleil !

Le vendredi 15 septembre 2021s’est déroulé le cross départemental UGSEL. Un moment chaleureux, dans la bonne humeur et la convivialité. Les élèves se sont dépassés sous une après-midi ensoleillée dans un esprit de partage et de solidarité. Ils se sont encouragés et entraidés, partageant ainsi un moment agréable rempli de joie. Les premiers élèves à courir ont été les élèves de 6ème et 5ème filles puis garçons en début d’après-midi. Les élèves de 4ème et 3ème ont clôturé cette après-midi sportive.

Plusieurs élèves ont d’ailleurs été récompensés d’une médaille suite à leurs belles performances sportives. Nous garderons tous d’excellents souvenirs de cette grande journée sportive !

Non au Harcèlement

Les élèves de cinquième (promo 2020–2021) participent à un concours d’affiche contre le harcèlement. Ce travail d’infographie, de Light Painting a été initiée par les professeurs de physique et d’arts plastiques dans le cadre d’un travail interdisciplinaire : EPI Lumière. Il a permis d’aborder les propriétés de la lumière, ses qualités plastiques et symboliques. La réalisation finale a abouti à la mise  en lumière d’un phénomène qui touche beaucoup d’enfants à l’école : le harcèlement. À travers cette mise en scène photographique où les élèves se sont pris en photo en héros ou en victime, l’objectif était de dénoncer ce phénomène destructeur.

La fête des langues à sainte Marie du 17 au 21 mai 2021

« Ambiance festival ! » se sont exclamés Gabin et Victor, élèves en 6e pour qualifier la Semaine des Langues à sainte Marie. Avec la sono, le micro, les chanteurs, un public nombreux et en prime une météo favorable, tous les ingrédients étaient réunis. « Cette année, c’était mon premier concert » a renchéri Jérémy, en 3e.

« partager les langues dans la cour de récré »

Assis à l’ombre des platanes, les élèves présents mardi et jeudi à la pause méridienne ont pu écouter des chansons en allemand, chinois et occitan, voire même reprendre certains passages. Les chanteurs avaient leurs fans.

D’autres animations ont été proposées en cercle plus restreint, comme l’atelier d’écriture de caractères chinois, ou encore l’interprétation du poème « Erlkönig » (le Roi des aulnes) en version be bop par les élèves de 3e devant les 6e et les CM2 ; sans oublier la venue de la Mobiklasse pour un joyeux bain d’immersion dans la langue de Goethe auprès des 6e.

Chansons en allemand, chinois et occitan :

> « Am Montag gibt es Suppe » /5e bilangue allemand

> « Bruder Jakob » / 5e bilangue allemand + lycéens en chinois

« Hymne an die Freude » / 3e bilangue allemand + lycéens en chinois + 6e, 4e et 3e en occitan>

Xuěhuā piāopiāo běifēng xiāoxiāo (connu sur Tik toc)  & Děngdào yìqíng guòhòu (Une fois la pandémie terminée) > Chanson folklorique chinoise : Mòlìhuā (fleur de jasmin) & Chanson populaire chinoise : Lóng de chuánrén (descendant de dragon) > Lo skeit bord /

6e, 4e et 3e en occitan > « Le coeurdonnier » de Soprano  et « Shallow » de Bradley Cooper et Lady Gaga, par les élèves de la chorale de Mme Zamolo.

La MOBILKLASSE au collège

Vendredi 21 mai après-midi, les élèves de 6 ème B et D ont eu la visite de la Mobilklasse. C’était l’occasion pour les apprenants de rencontrer une native allemande qui leur a présenté sa langue maternelle, la culture et l’Allemagne. Nombreux étaient ceux qui pensaient que la langue de Goethe est difficile, car ils ne la connaissaient pas. Madame Schnitzler leur a montré qu’il y a des mots transparents qui ressemblent à l’anglais et au français, par exemple: “orange” et “violtett” qui se disent de la même façon dans les 3 langues. Après une présentation lexicale, Madame Schnitzler a enchaîné par des jeux auxquels les élèves ont participé avec joie et bonne humeur.

La Mobilklasse travaille en étroite collaboration avec le Goethe-Institut de Toulouse. Ce sont des jeunes étudiants allemands, formés par l’OFAJ (l’Office Franco-Allemand de la Jeunesse) qui se déplacent et vont à la rencontre des élèves pour faire la promotion de l’allemand à la demande des collèges.

Nous remercions vivement Mme Schnitzler pour sa venue, son enthousiasme et son entrain.

Mme Koch (professeur d’allemand)

22 Janvier 2021 : Journée franco-allemande

22 Janvier  fête de St Vincent ? Pas seulement !

Le 22 Janvier 1963 est une date importante pour l’amitié franco-allemande. En effet ce jour-là, le premier Chancelier fédéral allemand : Konrad Adenauer et le Président de la République Française : le Général de Gaulle signent le Traité de l’Elysée qui marquera le début de l’amitié franco-allemande et celui du « couple franco-allemand ». Ces deux hommes ne voulant plus de conflits entre les deux pays belligérants ont décidé, par ce Traité, de marquer le rapprochement des deux peuples.

Au collège, nous avons voulu fêter à notre manière cette date : à commencer par le menu de la cantine. Il proposait ce jour-là, un plat traditionnel : la choucroute qui a été appréciée par tout le monde. Madame Koch, l’enseignante d’allemand avait demandé aux élèves de 6 ème bilangue allemand de faire des affiches pour le menu en allemand et d’en créer d’autres avec les façons de saluer dans la langue de Goethe. Aussi voyait-on fleurir des affiches à la cantine ou sur le chemin l’y menant, par exemple.

Madame Belvoy, documentaliste a également participé à cette journée en exposant au CDI des affiches et des livres en allemand.Ouvrages que les élèves peuvent consulter sur place ou même emprunter.

« Vive l’amitié franco-allemande ! » « Es lebe die deutsch-französische Freundschaft !» (phrase finale de discours du couple franco-allemand)

Mme Koch

250ème anniversaire de la naissance de Ludwig Van Beethoven

Le 17 décembre 2020, les élèves ont été accueillis avec les notes de la 4ème symphonie de Beethoven à l’occasion du 250ème anniversaire de sa naissance.

Ludwig van BEETHOVEN   17 décembre 1770 – 26 mars 1827

A la fin de 1821, un anglais, Sir John Russel, écrit ses souvenirs alors qu’il vient de rencontrer Beethoven dans le feu d’une de ses dernières improvisations pour piano :

« Du moment où il se met au piano-forte, il ne sait certainement pas qu’il existe quelque chose au monde en dehors de lui et de son instrument. Quand on pense qu’il est sourd, il paraît impossible qu’il entende tout ce qu’il joue. Quand il joue très doucement, il arrive souvent qu’il ne produise pas un son. Il n’entend qu’avec les oreilles de l’esprit. Tandis que ses yeux et le mouvement presque imperceptible de ses doigts indiquent qu’il poursuit la phrase dans sa tête à travers toutes ses nuances mouvantes, l’instrument est en réalité aussi muet que le pianiste est sourd […] Laissé seul, Beethoven se mit alors lui-même au piano-forte. D’abord il ne fit çà et là que de brefs accords sans suite, comme s’il craignait de se faire pincer pour quelque gaminerie ; mais peu à peu il oublia tout autour de lui, et pendant une demi-heure environ, se perdit dans une improvisation dont le style était extrêmement divers et se caractérisait surtout par les modulations les plus dures. Les connaisseurs étaient ravis ; pour les profanes, le plus intéressant était d’observer comment la musique passait de l’âme de cet homme sur son visage. Il paraissait avoir des sentiments plutôt hardis, impérieux et orageux que calmes et langoureux. Les muscles de son visage s’enflaient, ses veines saillaient. Le regard farouche roulait avec violence, la bouche remuait, et Beethoven semblait un magicien qui se sent maître des esprits qu’il a évoqués. »

Parrainage entre des élèves de 6° et de 3°

Dans un collège, à la rentrée, se côtoient des élèves aguerris car c’est leur quatrième du genre et d’autres un peu stressés car c’est pour eux une première. C’est à partir de ce constat simple que proposition a été faite aux élèves de 3e d’accompagner ceux de 6e pendant les premières semaines de l’année : Je suis perdu devant mon casier ? Je cherche ma salle de classe ? Je ne comprends pas mon emploi du temps ? ou ai-je un problème dans la cour ? Au secours, mon parrain, ma marraine ! Et c’est ainsi que 65 binômes ont été constitués, sur la base du volontariat.

Les 6° sont ravis :

  • C’est pratique qu’un 3e nous aide (Maxence)
  • Cela nous fait avoir des amis (Maxime)
  • C’est cool car on peut échanger des discussions avec les 3e (Alexia)
  • On se voit souvent avec ma marraine de 3e et on se dit bonjour (Gauthier)
  • Ca me fait prendre confiance en moi de savoir que quelqu’un est là pour m’aider (Nathan)

Les 3e aussi :

  • On est tous passé par la 6° et on aurait apprécié d’être accompagnés (Paul et Ambre) D’autant que cette année, la situation sanitaire compliquait les choses (Clémence)
  • Ça permet de mixer les générations, de connaître les 6° (Alexandre et Simon)
  • On crée une relation, on devient une épaule sur laquelle s’appuyer (Ambrine et Anabelle)

Qui pourra encore douter que nos jeunes ont du cœur ? Merci aux 3e engagés. Et bonne année à tous !

Exposition de l’œuvre d’Antonio José JAENADA

Les cimaises de l’ensemble scolaire d’Amboise accueillent l’œuvre d’Antonio José Jaenada du 1er octobre au 16 octobre 2020.

 Antonio José Jaenada est un artiste espagnol installé depuis 2012 dans le Tarn. Formé à l’école des Beaux Arts de Grenade en 2007, il a continué ses études en Histoire de l’Art dans la même université de Grenade. Il a ensuite obtenu son diplôme d’études avancées à l’école de Beaux Arts de Barcelone. Ayant sa candidature au doctorat par l’université de Grenade, il décide de rentrer en France pour s’y installer définitivement en 2012. C’est à partir de ce moment là que sa recherche plastique se concentre sur  le corps et le portrait. Mais ce questionnement est très vaste. Il trouve de l’inspiration dans un portrait presque caricatural de la société et son comportement dans la culture, ce qui l’amène à bouleverser des éléments iconographiques traditionnels et les restituer dans une « para-iconographie » ironique. En même temps, il considère que quelque soit la technique, peinture, dessin ou sculpture, il faut arriver à les maîtriser, ce qui peut parfois provoquer de fortes différences visuelles d’une œuvre à l’autre. Si dans un nombre important d’œuvres on trouve immédiatement la source de son inspiration (Brueghel ou Goya), dans d’autres, il semble replié sur la représentation de la peau et le visage. 

Actuellement, il est concentré dans un projet de représentation du corps à travers une réinterprétation des vénus préhistoriques.

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